Dans les quelques véritables faiblesses de l’armée française de 1940 figure le bombardement aérien tant dans l’appui tactique que dans les frappes stratégiques. Cela ne signifie cependant pas qu’il est inexistant. C’est d’ailleurs loin d’être le cas, mais pourtant, la littérature sur le sujet est particulièrement lacunaire, exception faite de quelques mentions à propos des tentatives de destruction des ponts sur la Meuse et du canal Albert. Ce livre de près de deux cent pages vient donc combler un manque évident. Et avec brio.
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Plus de seize ans d’âge et un art consommé de se renouveler en restant fidèle à son ADN. C’est ainsi que ce numéro de 
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