La naissance d’une nouvelle revue est toujours un moment un peu spécial. Il faut apprécier le pari fait par l’éditeur, notamment en ces temps où le numérique empiète chaque jour un peu plus sur le papier et où l’accès aux sources est particulièrement ouvert.
S’inspirant du modèle du magazine trimestriel Normandie 1944, les Editions Heimdal lancent une revue là aussi très spécialisée mais concentrée cette fois-ci les as de l’aviation mondiale à pistons : AceS, les as de l’Histoire de l’aviation mondiale.
Souvent le point faible de cette maison d’éditions, la forme est ici de très bonne facture avec un contenu dense, lisible et une iconographie très agréable à regarder. Si le sommaire du premier numéro est exclusivement consacré à la Seconde Guerre mondiale, l’éditorial promet de couvrir la période de 1914 à 1945.
Les aces mis en avant dans ce numéro sont Hans-Joachim MARSEILLE, James DENIS, Don GENTILE et Jean MARIDOR.
Sommaire :
- Jean-Charles STASI, Hans-Joachim Marseille, l’Etoile d’Afrique, ovni du IIIe Reich, in AceS n°1 (Heimdal, 2016)
- Many SOUFFAN, Duel en Cyrénaïque, James Denis vs. Marseille…, in AceS n°1 (Heimdal, 2016)
- Christophe CONY, Les Messerschmitt Bf 109 de la Jagdgeschwader 27, in AceS n°1 (Heimdal, 2016)
- Christophe CONY, Don Gentil, l’enfant gâté de l’US Air Force, in AceS n°1 (Heimdal, 2016)
- Jean-Charles STASI, Jean Maridor, le Guynemer de la Seconde guerre mondiale, in AceS n°1 (Heimdal, 2016)
- Many SOUFFAN, Jean Maridor, une étoile filante sans peur et sans reproches, in AceS n°1 (Heimdal, 2016)
Boutique :
www.3945km.com – Des origines aux conséquences de la Seconde Guerre mondiale, un siècle d’histoire militaire planétaire !
Merci pour ce partage d’informations, je découvre grâce à votre note cette nouvelle publication. J’en profite pour vous souhaiter une bonne année.
Tous mes voeux également pour cette nouvelle année. Concernant AceS, j’avoue avoir été très agréablement surpris par ce premier numéro. L’enjeu va être la suite car le champ éditorial peut être vite restreint et ne pourra se limiter aux habituelles têtes de gondole, essentiellement germaniques, de cette première période de l’aviation militaire…