Normandie 1944 Magazine n°26 (Heimdal, 2018)

Ce numéro de Normandie 1944 Magazine des Editions Heimdal contient deux évocations particulièrement fort des soldats morts au combat au Normandie à travers deux articles. Le premier, court de deux pages, part d’une tombe dans un cimetière militaire britannique à Sainte-Marie-du-Havre pour évoquer un soldat du No. 45 Royal Marines Commando qui disparaît quand la péniche dans laquelle il se trouve à l’aube du 6 juin 1944 est touchée par un canon antichar allemand positionné à La Brèche sur Sword Beach. Son corps dérive et n’est retrouvé que plusieurs jours plus tard près du Havre. Le second se penche les images pieuses allemandes imprimées en souvenir d’un soldat mort. Cette tradition germanique très ancrée au cours des guerres mondiales permet de donner un nom, un visage et une existence à ces hommes tombés dans les combats. L’article s’attarde plus particulièrement sur quelques exemples de soldats morts dans les combats dans le Cotentin face aux Américains. Les reproductions des images sont accompagnées des cartes des combats issues des historiques officiels américains et déjà publiés à de nombreuses reprises aux Editions Heimdal. Lire la suite « Normandie 1944 Magazine n°26 (Heimdal, 2018) »

Gold, Juno, Sword (Heimdal, 2003)

Heimdal 2003 BERNAGE Georges Gold Juno SwordCet album de 200 pages se consacre aux trois plages de débarquement situées en secteur britannique et canadien (Gold Beach, Juno Beach et Sword Beach).

Les textes appuyés de nombreuses photos issues des archives officielles et illustrations (cartes, reproductions d’objets d’époque) permettent de saisir l’ensemble des opérations qui se sont déroulées le 6 juin 1944 (y compris la contre-attaque de la 21. Panzer-Division qui parvient à la côte avant de se replier vers l’intérieur des terres) après avoir planté le décor (notamment un descriptif détaillé des défenses allemandes du Mur de l’Atlantique du secteur) et étudié les forces en présence tant anglo-canadiennes qu’allemandes. Lire la suite « Gold, Juno, Sword (Heimdal, 2003) »