Martin BORMANN est un dignitaire du parti nazi qui occupe une place clef dans l’entourage d’Adolf HITLER. Il est au cœur de toutes les intrigues du pouvoir de l’époque. Il disparaît dans les ruines de Berlin en tentant de s’enfuir du bunker dans lequel s’est suicidé Adolf HITLER. Son corps n’est identifié qu’en 1973 laissant plusieurs théories se développer, notamment celle qui fait de lui un agent soviétique.
Bibliographie :
Loïc BECKER, La disparition de Martin Bormann, qu’est devenue l’éminence brune ?, in Ligne de Front hors-série n°33 (Caraktère, 2018)
Yann MAHE, Le Werwolf, le mouvement de résistance nazi, 1944-45, in Ligne de Front hors-série n°33 (Caraktère, 2018)
Xavier RIAUD, La vérité sur l’identification médico-légale de Martin BORMANN, in 39/45 Magazine n°300 (Heimdal, 2012) : article de trois pages relatant l’analyse dentaire pratiquée sur deux corps retrouvés lors de travaux de voirie dont l’un s’avère être celui de Martin BORMANN et évoquant la présence d’éclats de verre, donc un éventuel suicide en croquant une capsule de cyanure lors de sa tentative de fuite pour sortir de Berlin le 2 mai 1945 avec des éléments de la 11. SS-Freiwilligen-Panzergrenadier-Division Nordland – Photos.
Charles TRANG, Fritz Darges, dans le cercle intime des dirigeants du Troisième Reich, in 39/45 Magazine n°363 (Heimdal, 2020) : article de quatorze pages sur Fritz DARGES qui devient aide-de-camp de Martin BORMANN, poste où il côtoie les plus hauts dignitaires nazis avant d’intégrer la SS-VT lors des opérations à l’Ouest en 1940, avant de remplacer Max WÜNSCHE comme aide-de-camp d’Adolf HITLER avec un intermède de quelques mois dans le Caucase avec la SS-Division Wiking avant d’être renvoyé pour une blague déplacée deux jours avant l’attentat du 20 juillet 1944 et de participer aux combats en Pologne et en Hongrie comme chef de compagnie puis commandement du Panzer-Regiment de la 5. SS-Panzer-Division jusqu’à la fin de conflit – Texte, photos.